La sexualité féminine.
La sexualité féminine, découvrir son corps.
« Alors, t’as joui ? ».
Misère, certains hommes posent ce genre de question ? Aucune femme ne pose cette question, même si, parait-il, certains hommes simulent. Hé oui, Mesdames, il parait que c’est possible.
Mais concentrons-nous d’abord sur l’orgasme féminin.
Nous pouvons, en tant que femmes, avoir du plaisir sans avoir d’orgasme. Et chacun de nos orgasmes est différent. Un soir votre partenaire vous fait « grimper aux rideaux », le lendemain il/elle fait tout pareil et … rien. C’est le propre de nos orgasmes. Autant, ils sont riches car variés, nous n’avons jamais le même orgasme que ce soit en masturbation, avec un jouet ou avec un partenaire. Chaque fois les ressentis sont différents.
L’orgasme chez la femme est donc plus riche, mais aussi beaucoup plus fragile et compliqué.
« L’orgasme féminin ne vient pas comme ça, il faut aller le chercher. »
Nombreuses sont les femmes qui ne se connaissent pas. En effet, là où la masturbation masculine n’est plus taboue, la masturbation féminine reste tue. A l’adolescence, lorsque l’ado garçon commence à se masturber, on en « parle », on en est « fier ». Pour ce qui est de l’ado fille, pas de conseils, pas de mots, pas de mouchoirs planqués sous le lit non plus d’ailleurs.
Et comme les femmes ne se connaissent pas ou peu, elles ne savent pas comment faire, ni dès lors comment conseiller leur partenaire. Ou alors, elles savent atteindre l’orgasme en masturbation, mais dans une position tellement tarabiscotée et compliquée, que c’est presque impossible de l’expliquer au partenaire.
Donc, premier conseil, découvrez-vous, explorez-vous, sexplorez-vous !
Pour se découvrir, quoi de mieux qu’un sextoys.
Vous vous pensez clitoridienne, choisissez un sextoys clitoridien.
Vous vous pensez Vaginale, choisissez un sextoys vaginal.
Vous ne savez pas choisir entre les deux, choisissez un sextoys double (vaginal et clitoridien)
Vous vous pensez Anale ou désirez explorer votre corps, choisissez un sextoys anal.
Misère, certains hommes posent ce genre de question ? Aucune femme ne pose cette question, même si, parait-il, certains hommes simulent. Hé oui, Mesdames, il parait que c’est possible.
Mais concentrons-nous d’abord sur l’orgasme féminin.
Nous pouvons, en tant que femmes, avoir du plaisir sans avoir d’orgasme. Et chacun de nos orgasmes est différent. Un soir votre partenaire vous fait « grimper aux rideaux », le lendemain il/elle fait tout pareil et … rien. C’est le propre de nos orgasmes. Autant, ils sont riches car variés, nous n’avons jamais le même orgasme que ce soit en masturbation, avec un jouet ou avec un partenaire. Chaque fois les ressentis sont différents.
L’orgasme chez la femme est donc plus riche, mais aussi beaucoup plus fragile et compliqué.
« L’orgasme féminin ne vient pas comme ça, il faut aller le chercher. »
Nombreuses sont les femmes qui ne se connaissent pas. En effet, là où la masturbation masculine n’est plus taboue, la masturbation féminine reste tue. A l’adolescence, lorsque l’ado garçon commence à se masturber, on en « parle », on en est « fier ». Pour ce qui est de l’ado fille, pas de conseils, pas de mots, pas de mouchoirs planqués sous le lit non plus d’ailleurs.
Et comme les femmes ne se connaissent pas ou peu, elles ne savent pas comment faire, ni dès lors comment conseiller leur partenaire. Ou alors, elles savent atteindre l’orgasme en masturbation, mais dans une position tellement tarabiscotée et compliquée, que c’est presque impossible de l’expliquer au partenaire.
Donc, premier conseil, découvrez-vous, explorez-vous, sexplorez-vous !
Pour se découvrir, quoi de mieux qu’un sextoys.
Vous vous pensez clitoridienne, choisissez un sextoys clitoridien.
Vous vous pensez Vaginale, choisissez un sextoys vaginal.
Vous ne savez pas choisir entre les deux, choisissez un sextoys double (vaginal et clitoridien)
Vous vous pensez Anale ou désirez explorer votre corps, choisissez un sextoys anal.
Second conseil, veillez à érotiser le corps entier. Il y a de nombreuses zones du corps qui peuvent donner du plaisir.
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L'orgasme Féminin.
L'orgasme Féminin.
L’orgasme chez la femme est fragile, comme déjà abordé dans mon précédent texte, mais surtout, certaines femmes ne connaissent pas d’orgasme. On parle alors d’anorgasmie.
L’anorgasmie peut être primaire, c’est-à-dire que la femme n’a jamais eu d’orgasme, ou secondaire, la femme a eu des orgasmes par le passé mais n’en a plus actuellement. L’anorgasmie secondaire est donc plus facile à aborder et à traiter, puisqu’il va falloir chercher un élément déclencheur, un facteur qui a été modifié pour arriver à cet « état ».
Mais l’orgasme est provoqué par quoi ? C’est la magnifique question à laquelle il est encore difficile, en 2020, de répondre. En effet, si la femme est la seule à posséder l’unique organe destiné au plaisir avec 8000 terminaisons nerveuses dédiées à cela, on n’en connait pas encore tout à fait le fonctionnement.
Les premières idées à laisser tomber sont ce que Freud nous a appris sur notre sexualité. Oui, il a aidé la psychanalyse, oui, grâce à lui on a fait de grandes avancées dans plein de domaines, mais il a réduit notre sexualité à quelque chose de très simple : clitoridienne, jeune femme ; vaginale, femme mariée, qui dès lors, pouvait être pénétrée ; les femmes pouvant avoir des orgasmes clitoridiens et vaginaux étaient qualifiées d’hystériques. Je prône donc l’hystérie 😉
Non, soyons sérieuses, reprenons les choses au départ : le clitoris, comme je vous l’ai rappelé est composé de 8000 terminaisons nerveuses. Il a une partie externe et des racines qui forment le fameux « Point G ».
Pour déclencher un orgasme clitoridien, il faut une stimulation des nerfs, que ce soit par frottements, par pression, par câlineries en tout genre. Pour déclencher l’orgasme clitoridien interne, dirons-nous, celui du Point G, l’étude de l’anatomie féminine n’a pas encore permis de déterminer comment déclencher ce type d’orgasme à « coups sûrs ». En effet, il n’y a presque pas de terminaisons nerveuses dans le vagin, qui lui est bien destiné à la reproduction et à l’enfantement. Les racines du clitoris, le Point G, se trouvent sur la face antérieure du vagin, à 4 ou 5 cm de profondeur.
Beaucoup de femmes se posent des questions sur l’orgasme « interne » et sont inquiètes de ne pas l’avoir connu. On nous véhicule une recherche du Graal, de la chose à atteindre. Certaines ne l’atteignent jamais et la pression qu’elles se mettent y est pour beaucoup.
Chez la femme, l’orgasme est également vu comme un « don de soi ». Parfois, il y a une retenue de l’orgasme pour ne pas le donner à l’autre.
On vous conseille donc de la légèreté, du dialogue, de la confiance, en vous d’abord, de la découverte et toujours de la sexploration.
L’anorgasmie peut être primaire, c’est-à-dire que la femme n’a jamais eu d’orgasme, ou secondaire, la femme a eu des orgasmes par le passé mais n’en a plus actuellement. L’anorgasmie secondaire est donc plus facile à aborder et à traiter, puisqu’il va falloir chercher un élément déclencheur, un facteur qui a été modifié pour arriver à cet « état ».
Mais l’orgasme est provoqué par quoi ? C’est la magnifique question à laquelle il est encore difficile, en 2020, de répondre. En effet, si la femme est la seule à posséder l’unique organe destiné au plaisir avec 8000 terminaisons nerveuses dédiées à cela, on n’en connait pas encore tout à fait le fonctionnement.
Les premières idées à laisser tomber sont ce que Freud nous a appris sur notre sexualité. Oui, il a aidé la psychanalyse, oui, grâce à lui on a fait de grandes avancées dans plein de domaines, mais il a réduit notre sexualité à quelque chose de très simple : clitoridienne, jeune femme ; vaginale, femme mariée, qui dès lors, pouvait être pénétrée ; les femmes pouvant avoir des orgasmes clitoridiens et vaginaux étaient qualifiées d’hystériques. Je prône donc l’hystérie 😉
Non, soyons sérieuses, reprenons les choses au départ : le clitoris, comme je vous l’ai rappelé est composé de 8000 terminaisons nerveuses. Il a une partie externe et des racines qui forment le fameux « Point G ».
Pour déclencher un orgasme clitoridien, il faut une stimulation des nerfs, que ce soit par frottements, par pression, par câlineries en tout genre. Pour déclencher l’orgasme clitoridien interne, dirons-nous, celui du Point G, l’étude de l’anatomie féminine n’a pas encore permis de déterminer comment déclencher ce type d’orgasme à « coups sûrs ». En effet, il n’y a presque pas de terminaisons nerveuses dans le vagin, qui lui est bien destiné à la reproduction et à l’enfantement. Les racines du clitoris, le Point G, se trouvent sur la face antérieure du vagin, à 4 ou 5 cm de profondeur.
Beaucoup de femmes se posent des questions sur l’orgasme « interne » et sont inquiètes de ne pas l’avoir connu. On nous véhicule une recherche du Graal, de la chose à atteindre. Certaines ne l’atteignent jamais et la pression qu’elles se mettent y est pour beaucoup.
Chez la femme, l’orgasme est également vu comme un « don de soi ». Parfois, il y a une retenue de l’orgasme pour ne pas le donner à l’autre.
On vous conseille donc de la légèreté, du dialogue, de la confiance, en vous d’abord, de la découverte et toujours de la sexploration.
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La sexualité masculine.
La sexualité masculine.
La sexualité de l’homme est en rapport avec sa virilité. C’est une réalité qui est poussée par la société : un homme c’est fort, un homme ça baise et si ça met du rose bah c’est que…
On m’a dit très justement un jour : « Vous les femmes, vous naissez femmes, un homme doit devenir un homme ». Et oui, c’est ce que la société prône. Et cette virilité dépend de la sexualité, d’où les vantards que nous pouvons croiser.
Quand on croise une femme dans la rue, nous savons qu’elle peut être sexy, très féminine et sensuelle, mais que cela ne représente pas sa sexualité, qu’elle est peut-être complètement frigide ; et l’inverse pour la « camionneuse » qui peut être une vraie bombe sexuelle.
Depuis tout petit, le garçon compare ses attributs à ceux de ses condisciples, en termes de longueur ou de largeur. Certains vont jusqu’à organiser des concours de hauteur d’éjaculation dans les vestiaires (si si). Dès lors, lorsqu’un homme veut acheter un vibromasseur pour sa partenaire, il a tendance à vouloir choisir un très gros très lourd très puissant.
De plus, la sexualité omniprésente dans notre société montre de la performance, tant en temps qu’en efficacité. Cela met une pression énorme sur le rapport amoureux. Qui plus est, comme l’orgasme féminin est plus long à venir, l’homme doit « retenir » son orgasme plus longtemps.
Un homme est fait pour jouir en +/- 3 minutes. Mais s’il le fait à l’heure actuelle, il va être traité d’ « éjaculateur précoce », en tout cas dans notre civilisation occidentale. En effet, à la préhistoire, c’était vital d’aller vite et dans certaines cultures c’est toujours autorisé, accepté, non remis en question.
Cette éjaculation précoce développe de la culpabilité chez l’homme, de la frustration chez la femme et entraîne des difficultés relationnelles entre eux. Elle peut être primaire, présente depuis toujours ; ou secondaire, présente depuis peu. L’éjaculation précoce secondaire est donc plus « simple » à soigner puisqu’il faut retrouver l’élément déclencheur du changement (changement de partenaire, nouveau médicament, abus d’alcool, …).
On m’a dit très justement un jour : « Vous les femmes, vous naissez femmes, un homme doit devenir un homme ». Et oui, c’est ce que la société prône. Et cette virilité dépend de la sexualité, d’où les vantards que nous pouvons croiser.
Quand on croise une femme dans la rue, nous savons qu’elle peut être sexy, très féminine et sensuelle, mais que cela ne représente pas sa sexualité, qu’elle est peut-être complètement frigide ; et l’inverse pour la « camionneuse » qui peut être une vraie bombe sexuelle.
Depuis tout petit, le garçon compare ses attributs à ceux de ses condisciples, en termes de longueur ou de largeur. Certains vont jusqu’à organiser des concours de hauteur d’éjaculation dans les vestiaires (si si). Dès lors, lorsqu’un homme veut acheter un vibromasseur pour sa partenaire, il a tendance à vouloir choisir un très gros très lourd très puissant.
De plus, la sexualité omniprésente dans notre société montre de la performance, tant en temps qu’en efficacité. Cela met une pression énorme sur le rapport amoureux. Qui plus est, comme l’orgasme féminin est plus long à venir, l’homme doit « retenir » son orgasme plus longtemps.
Un homme est fait pour jouir en +/- 3 minutes. Mais s’il le fait à l’heure actuelle, il va être traité d’ « éjaculateur précoce », en tout cas dans notre civilisation occidentale. En effet, à la préhistoire, c’était vital d’aller vite et dans certaines cultures c’est toujours autorisé, accepté, non remis en question.
Cette éjaculation précoce développe de la culpabilité chez l’homme, de la frustration chez la femme et entraîne des difficultés relationnelles entre eux. Elle peut être primaire, présente depuis toujours ; ou secondaire, présente depuis peu. L’éjaculation précoce secondaire est donc plus « simple » à soigner puisqu’il faut retrouver l’élément déclencheur du changement (changement de partenaire, nouveau médicament, abus d’alcool, …).
L’homme lui aussi à droit à ses jouets et peut lui aussi avoir différentes sortes de stimulations en fonction de ses envies ou de ce qu’il préfère.
Nous avons une large gamme de sextoys pour homme que sont les anneaux péniens, les masturbateurs et les stimulateurs de prostates…
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